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LA TIERRA

Foto del escritor: デイジーデイジー

Il y a des endroits de la terre si beaux qu’on voudrait les serrer contre son cœur



Ce grand mot de nature que l’humanité tour à tour a répété avec idolâtrie ou épouvante, que les philosophes sondaient, que les poètes chantaient, comme il se perd ! Comme il s’oublie ! … L’homme a coupé les forêts, il bat les mers, et sur ses villes le ciel fait les nuages avec la fumée de ses foyers


Gustave Flaubert


Caleuche, La nave de los locos


En una ciudad patagónica Pilkumán, el Cacique de una tribu mapuche, incendia un centro hotelero aduciendo que había sido ilegalmente construido sobre lo que fue el cementerio de su pueblo, ocasionando un conflicto social y un juicio consecuente donde la abogada Laura Montero deberá defenderlo contra viento y marea.



… il y a encore des hommes qui marchent nus ;

qui vivent sous les arbres, pays où les nuits de noce ont pour alcôve toute une forêt pour plafond le ciel entier.

Mais il faut partir vite si vous voulez les voir…

Gustave Flaubert


Alegato de Laura en defensa del Cacique Pilkumán

Ricardo Wullicher


Ce grand mot de nature que l’humanité tour à tour a répété avec idolâtrie ou épouvante, que les philosophes sondaient, que les poètes chantaient, comme il se perd !

Comme il s’oublie ! … L’homme a coupé les forêts, il bat les mers, et sur ses villes le ciel fait les nuages avec la fumée de ses foyers


…l’homme tourmenté remue, s’agite, abat les forêts, bouleverse la terre, s’élance sur la mer, et pleure, et rugit, et pense à l’enfer…


Gustave Flaubert


Il y avait un jardin

Georges Moustaki, 1971

La science ne se reconnaît pas de monstre, elle ne maudit aucune créature ;

la laideur n’existe que dans l’esprit de l’homme, c’est une manière de sentir qui révèle sa faiblesse, lui seul est capable de la concevoir et de la produire ;

… Les rochers sont beaux, les champs couverts de blé sont beaux, belle est la tempête, belles sont les forêts, les araignées ont leur beauté, les crocodiles ont la leur, comme les hiboux…



Si la Société continue à aller de ce train,

il n’y aura plus dans deux mille ans ni un brin d’herbe, ni un arbre ;

ils auront mangé la nature…

Gustave Flaubert

1821 - 1880



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